Le groupe de travail s’est tenu le 28 mars. Les possibilités d’affectation sont réduites : seulement 31 postes pour l’ensemble des personnels du second degré.
Il faudrait augmenter ce nombre de postes de façon significative pour répondre aux besoins de la profession. De même qu’il faudrait développer d’autres solutions pour permettre à des collègues éprouvant des difficultés passagères de « souffler » plutôt que de laisser la situation s’aggraver.

Après l’examen des personnes déjà en réadaptation cette année, il restait 13 postes à pourvoir pour 32 nouvelles demandes.

Dès la fin de la commission nous avons informé l’ensemble des syndiqués sur le résultat de leur demande.